Un nouveau dispositif médical remboursé !
Le système de boucle semi-fermée OMNIPOD 5 remboursé avec le Freestyle Libre 2 Plus
Voici une nouvelle que vous étiez nombreux à attendre : le dispositif médical OMNIPOD 5 est désormais disponible avec le capteur de glucose en continu Freestyle Libre 2 Plus.
Un arrêté du 28 octobre 2025 a inscrit la pompe à insuline OMNIPOD 5, couplée en boucle semi-fermée avec un capteur Freestyle Libre 2 Plus, à la liste des produits et prestations remboursables. Cette prise en charge sera effective avant la mi-novembre (13 jours à compter de la publication de l’arrêté au Journal Officiel ; cette publication a eu lieu le 30 octobre 2025).
OMNIPOD 5, première pompe patch disponible sur le marché, est remboursée en France depuis mai 2024, mais pour le moment, en boucle semi-fermée elle l’était seulement avec le capteur Dexcom G6. Cette nouvelle alternative offerte aux patients est une bonne nouvelle, dont la Fédération se réjouit.
Les indications d’OMNIPOD 5 couplé au Freestyle Libre 2 Plus sont les mêmes que lorsqu’il est couplé au Dexcom G6. Ce dispositif médical s’adresse aux « patients diabétiques de type 1, adultes et enfants âgés d'au moins 2 ans, dont l'objectif glycémique n'est pas atteint en dépit d'une insulinothérapie intensive bien conduite par perfusion sous-cutanée continue d'insuline (pompe externe) et d'une autosurveillance glycémique pluriquotidienne (≥ 4/j). »
À noter également que :
« La prescription de OMNIPOD 5, sauf situation médicale particulière du patient, ne s'adresse qu'à des patients dont la consommation est ≤ 60U/j. »
« La pompe OMNIPOD 5 n'est pas adaptée aux enfants pour lesquels un débit de base inférieur à 0,05U/h est nécessaire. »
Le système OMNIPOD 5 est composé de 3 éléments connectés entre eux par Bluetooth :
- un POD OMNIPOD 5 sans tubulure extérieure, composé d'une pompe à insuline sans tubulure et d'un microprocesseur comprenant le logiciel SmartAdjust ;
- un système de mesure du glucose interstitiel FREESTYLE LIBRE 2 PLUS, composé d'un capteur ;
- un contrôleur verrouillé intégrant l'application OMNIPOD 5.
Le système de boucle semi-fermée OMNIPOD 5, couplé au Dexcom G6 ou au Freestyle Libre 2 Plus, est indiqué chez les patients ayant déjà utilisé une pompe à insuline externe. Le système est destiné aux patients ayant reçu une éducation thérapeutique adaptée à leur pathologie et une formation initiale spécifique à l'emploi de ce système. La prescription et la formation spécifique seront effectuées dans un centre initiateur de pompes à insuline.
Quant à lui, le capteur de glucose en continu Freestyle Libre 2 Plus a l’avantage d’avoir une durée d’utilisation de 15 jours. C’est ainsi le capteur ayant la durée de la vie la plus longue actuellement sur le marché.
Pour en savoir plus sur le capteur de glucose en continu Freestyle Libre 2 Plus, rendez-vous sur notre article dédié. Vous pouvez aussi consulter les résultats de l’étude menée de notre Diabète LAB sur ce dispositif médical : Freestyle Libre 2 plus, le temps de la mesure
Pour en savoir plus sur les modalités de prescription de l’OMNIPOD 5 couplé au Freestyle Libre 2 Plus et sur votre éligibilité, demandez conseil à votre diabétologue.
© Andrey Popov
FORUM DES DIABETIQUES - JOURNEE MONDIALE DU DIABETE
SAMEDI 15 NOVEMBRE 2025
ARCHIVES DEPARTEMENTALES DU GARD
365 RUE DU FOREZ
30000 NIMES
DE 9H00 A 14H00
Documents associés
Les bénévoles se mobilisent partout en France autour de la JMD dédiée à la santé mentale
Les bénévoles se mobilisent partout en France autour de la JMD dédiée à la santé mentale
Journée mondiale du diabète
Le vendredi 14 novembre prochain se déroulera la Journée Mondiale du Diabète. A cette occasion, les bénévoles de tout le réseau de la Fédération Française des Diabétiques s’engagent comme chaque année auprès du grand public, des entreprises et des organismes sociaux pour accomplir leurs missions de prévention et d’information sur le thème « diabète et santé mentale » pour l’édition 2025.
Contexte
Aujourd’hui en France, plus de 4 millions de personnes vivent avec un diabète et c’est autant de foyers, familles ou entourages touchés par cette pathologie. Plus de 700 000 personnes vivent avec un diabète sans le savoir, d’où l’importance des actions de prévention et d’information organisées sur tour le territoire.
Pour permettre une information ciblée et une prévention nécessaire afin d’essayer de ralentir la progression de cette épidémie au niveau national mais surtout au niveau local où sont implantées nos associations, de nombreuses actions sont prévues autour de cette date du 14 novembre 2025.
Dispositif fourni aux Associations Fédérées
Afin d’aider les associations à organiser des actions sur le terrain, le Siège de la Fédération leur fournit des outils de communication pour faire connaître leurs actions :
- Mise à disposition d’une carte qui recense les actions organisées,
- Affiche qui reprend le visuel dédié à la santé mentale avec un diabète,
- Communiqué de presse personnalisable,
Outils numériques pour leurs sites internet et réseaux sociaux etc.
Actions organisées par les Associations Fédérées
Les actions des associations locales sont majoritairement construites sur le même modèle avec l’utilisation du test Findrisc qui est un outil de 8 questions sur l’âge, l’hérédité, les habitudes alimentaires, l’exercice physique, l’Indice de Masse Corporelle (IMC) etc. Il permet de déterminer un score et le pourcentage de risque de développer un diabète dans les 10 prochaines années puis en fonction du score, un test de glycémie capillaire. Le remplissage du test permet de donner toutes les informations, conseils et préconisations pour améliorer son hygiène de vie et ainsi repousser et/ou éviter l’apparition de la maladie.
Lors de ces manifestations de nombreux livrets, flyers et documentations sont remis au public sur tous les sujets concernant la maladie du diabète et son environnement.Actions près de chez vous :
https://contrelediabete.federationdesdiabetiques.org/les-actions-pres-de-chez-moi
Forum Action Sociale et Alimentation Durable
|
|
Mercredi 22 Octobre - Journée Santé et Prévention Séniors
Bonjour,
Nîmes Sport Santé, en partenariat avec la CPTS Nemausa, organise un tout nouvel événement dédié au bien-être et à la prévention des fragilités liées à l’âge :
La Journée Sport-Santé et Prévention Séniors
Mercredi 22 octobre 2025
De 10h à 15h
Résidence Le Neptune – 420 avenue de la Bouvine, Nîmes
Cette journée s’adresse aux personnes de plus de 60 ans qui commencent à ressentir une fragilité au quotidien (perte de mémoire, baisse d’équilibre, diminution de la vision ou de l’audition, fatigue, perte d’autonomie, etc.).
Au programme :
Matinée active : au choix marche nordique, gym douce ou pilates
Buffet convivial offert sur place
Bilan santé ICOPE : évaluation de la mémoire, de la mobilité, de la vision, de la nutrition, de l’audition et du bien-être psychologique
Pourquoi participer ?
- Pour repérer les premiers signes de perte d’autonomie et agir avant qu’ils ne s’aggravent
- Pour bénéficier d’un accompagnement personnalisé avec des professionnels formés au programme ICOPE
- Pour partager un moment convivial et rencontrer d’autres participants
- Et surtout, pour prendre soin de sa santé !
Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir diffuser cette information auprès de vos adhérents, bénéficiaires, patients ou tout public susceptible d’être intéressé.
Inscription obligatoire : 07 49 75 69 30
Plus d’informations : www.nimessportsante.fr
Contact : asso@nimessportsante.fr
Nous vous remercions chaleureusement pour votre relais et votre soutien à la promotion du sport-santé sur notre territoire.
Cordialement,
Sarah Pabion
Coordinatrice de Nîmes Sport Santé
Lancement de la campagne de vaccination !
Mardi c'est le lancement de la vaccination contre la grippe. Pour en savoir plus nous vous invitons à visiter le site de vaccinations info santé .
Journée Mondiale du Diabète - Edition 2025
Portrait de Jean-Marc Brouart : un soldat du feu engagé dans la lutte contre les métiers interdits
Du haut de son mètre 90, Jean-Marc Brouart est sapeur-pompier professionnel, avec un détail en plus : son diabète de type 1. Découvrez l’état d’esprit de ce sportif pour qui rien n’est impossible.
« Prouve que c’est impossible avant de croire que c’est impossible »
Jean-Marc Brouart a 44 ans, les épaules saillantes et la carrure révélatrice d’une discipline de fer. Il a la mentalité de ceux pour qui « impossible » n’est pas français. Sapeur-pompier professionnel la semaine, entraîneur de basket le week end, et père de deux fils de 19 et 15 ans, avec qui il enchaîne les séances de sport, Jean-Marc est infatigable. Et lorsqu’il récupère, il s’engage bénévolement au sein de l’Association des Diabétiques de la Somme (AFD 80). Jean-Marc a tout d’un super héros, jusqu’au jour où une faille inattendue vient le placer du côté des personnes considérées comme « vulnérables ».
En octobre 2008, alors qu’il est âgé de 27 ans et déjà caporal-chef en unité opérationnelle sur le centre de secours de Péronne dans la Somme, le diagnostic tombe : il est atteint d’un diabète de type 1. Après avoir passé un été à boire des litres d’eau, tout en continuant à faire beaucoup de sport et à travailler, il met la soif intense sur le compte de la chaleur caniculaire. Mais, rapidement, il constate une fatigue inhabituelle. Une fois le diagnostic posé, il est immédiatement pris en charge et traité par insuline : « quel soulagement ! Je me sentais tellement mieux ! » déclare-t-il. Finalement, le diabète de type 1 chez ce combattant, semble avoir l’impact d’un coup d’épée dans l’eau : « Le diabète de type 1 a opéré comme une pression positive ; une raison supplémentaire de continuer le sport et maintenir un bon équilibre de vie. J’ai adapté le diabète à ma vie. » Mais, à aucun moment, Jean-Marc n’a pensé que cette maladie risquerait de lui faire perdre son métier.
Interdisez-moi de travailler : j’en ferais une bataille collective
« Les sapeurs-pompiers dans le cadre de leur métier, ont une visite médicale annuelle. La mienne, je l’avais faite en juin 2008 et tout allait pour le mieux. Ma glycémie à jeun était normale. Et en octobre j’étais diagnostiqué, c’est pour dire à quel point cette maladie frappe brutalement », explique l’adjudant-chef.
Lorsqu’un pompier est atteint d’une maladie, chaque département dispose d’un médecin-chef-sapeur-pompier chargé de décider si le pompier peut rester en poste ou s’il doit être réaffecté à un poste administratif dans les bureaux. Dans la Somme, le médecin-chef connaissait déjà très bien le diabète. « J’avais un collègue du même âge que moi, qui avait déclaré un diabète de type 1 trois ans avant moi. », explique Jean-Marc. Le médecin savait donc qu’il était possible de continuer d’exercer le métier avec un diabète de type 1 et a laissé Jean-Marc poursuivre sa carrière.
« Cela a été un grand combat pour réussir à garder mon métier »
Mais, en 2018, tout bascule. Une nouvelle médecin cheffe est nommée dans la Somme, après le départ à la retraite de l’ancien médecin. « À ce moment-là, nous étions trois sapeurs-pompiers atteints de diabète de type 1 dans le département et cela a été un coup de massue. La nouvelle médecin, a décidé d’appliquer les textes à la lettre et de nous affecter tous les trois à des postes administratifs. Pourtant, cela faisait déjà dix ans que j’étais diabétique. » Victime collatérale de cette grande injustice, Jean-Marc décide de se rapprocher de la Fédération Française des Diabétiques. Et comme tout sportif, il refuse de s’avouer vaincu avant le coup de sifflet final.
De cette injustice naît la campagne sur les métiers interdits
Les trois pompiers du département atteints par un diabète de type 1, sollicitent leur directeur départemental, qui rédige un arrêté pour les maintenir en poste, malgré l’inaptitude médicale prononcée par la nouvelle médecin cheffe.
De là, naît une lutte acharnée contre les métiers interdits aux personnes atteintes de certaines maladies chroniques. En 2019, un congrès est organisé à Toulouse, réunissant l’ensemble des médecins-chefs sapeurs-pompiers de France, sur lequel Jean-Marc a travaillé activement. « Ce moment était très incertain », se souvient-il. Les médecins exprimaient leurs doutes sur le plan juridique : que se passerait-il en cas d’accident ? Mais d’autres au contraire, étaient plus optimistes surtout grâce à l’arrivée des nouveaux outils de gestion du diabète comme le FreeStyle Libre et l’Omnipod.
La même année, Jean-Marc est invité à témoigner à l’Assemblée nationale. Il rencontre alors la députée Agnès Firmin-Le Bodo. Ensemble, ils parviennent à mettre en place un texte de loi, sorti et adopté en 2021, permettant ainsi de supprimer la restriction d’accès à certaines professions en raison de l’état de santé.
« Transformer l’épreuve en force collective pour ouvrir toutes les voies à chacun »
« Finalement, l’ancienne médecin-cheffe sapeur-pompier de la Somme est partie exercer dans les Bouches du Rhône. Et c’est justement dans ce département qu’a été recruté le premier jeune sapeur-pompier volontaire atteint d’un diabète de type 1 », raconte pour anecdote Jean-Marc.
Il y a trois ans, Georges Petit, alors président de la Fédération, propose à Jean-Marc de devenir administrateur, rôle que le sapeur-pompier accepte et endosse, à-bras-le-corps. C’est à ce moment qu’il prend conscience de nombreuses autres formes de discriminations : « J’ai découvert les discriminations que subissaient les jeunes atteints de diabète, dès la crèche et jusqu’au collège. C’était sidérant d’apprendre qu’en 2021, en France, de telles situations existaient encore. »
D’administrateur à président de l’Association des Diabétiques de la Somme (AFD 80)
De fil en aiguille, Jean-Marc se rapproche de l’association « Fun en bulle » de Doullens, sa ville de résidence. Deux ans plus tard, Jean-Marc et les 15 bénévoles vraiment actifs de l’association impulsent une nouvelle dynamique : l’association rejoint la Fédération et change ses statuts, elle devient l’Association des Diabétiques de la Somme (AFD 80). Depuis, Jean-Marc est devenu président, d’une association en pleine expansion. Régulièrement, des Cafés Diabètes sont organisés, et un dispositif d’accompagnement Elan Solidaire est mis en place.
« Nos bénévoles sont de plus en plus diversifiés. Au début il y avait pas mal de bénévoles proches de la retraite. Aujourd’hui de plus en plus de jeunes, notamment des étudiants, rejoignent cette aventure collective », se réjouit Jean-Marc.
L’entraineur et père de deux garçons est particulièrement sensible à la cause des jeunes. Il collabore main dans la main avec une association locale dédiée aux jeunes enfants atteints de diabète. Ensemble, ils organisent des journées festives, pour les enfants. La prochaine, prévue pour le premier semestre de l’année 2026, se déroulera à Amiens, sous réserve de trouver une salle disponible.
Le président souhaite également mettre en place des actions de prévention dans les collèges et lycées, pour informer les jeunes sur le diabète de type 1 et 2. Il déclare : « La majorité des jeunes des collèges et lycées de France, seront touchés de près ou de loin par le diabète de type 2 dans leur vie. C’est une maladie que nous pouvons prévenir, retarder et anticiper. Il y a un travail à mener là-dessus. »
« À tous ceux qui considéraient ce projet comme dangereux, je tiens à dire merci. »
En juin dernier, Jean-Marc a ouvert les Assises de la Fédération à Amiens avec un message fort, et une philosophie visionnaire inspirée de Jules Verne : « À toutes celles et ceux qui trouvaient cela ridicule d’imaginer qu’une personne atteinte de diabète puisse exercer un métier de la sécurité, à tous ceux qui considéraient ce projet comme dangereux, je tiens à dire merci. »
Grâce à Jean-Marc Brouart et toutes les personnes engagées à ses côtés, un nouveau référentiel permet désormais à toute personne atteinte de diabète de rejoindre les rangs des soldats du feu, avec une évaluation au cas par cas. Une victoire pour tous ceux à qui l’on a trop dit que c’était impossible.
Permis de conduire : non à une hausse injuste et discriminatoire du prix de la visite médicale
La Fédération Française des Diabétiques vient d’être informée d’un projet très abouti visant à augmenter le prix de la visite médicale d’aptitude à la conduite auprès d’un médecin de ville agréé de la préfecture. Aujourd’hui fixés à 36 euros, non pris en charge et à régler en espèces, ces honoraires pourraient passer à 50 voire 55 euros avec cette réforme.
La Fédération dénonce avec force ce projet : la sécurité routière ne doit pas être un prétexte pour faire les poches des patients !
Il s’agit d’une mesure profondément injuste, qui viendrait impacter fortement le portefeuille des personnes qui vivent avec un diabète, déjà largement mis à mal par les multiples hausses du coût de la santé, et qui sera encore aggravé par le doublement annoncé des franchises et participations forfaitaires.
Nous savons que cette visite est déjà vécue comme un fardeau par les personnes qui y sont soumises, qui sont nombreuses à n’y voir aucune utilité : les médecins agréés qui la réalisent sont perçus comme expéditifs, et la plupart connaissent insuffisamment le diabète pour évaluer réellement la situation de la personne. Si pour la majorité des patients cette visite est à réaliser tous les cinq ans, pour certains, la durée de validité peut être beaucoup moins conséquente pour raisons de santé. En effet, la législation précise que la durée de validité de l'aptitude à la conduite peut être comprise entre 6 mois et 5 ans. La somme à dépenser est alors absolument considérable, alors même que les personnes atteintes de diabète sont déjà parmi les plus touchées par l’augmentation du coût de la santé.
Dans ces conditions, il est inacceptable d’alourdir encore la facture pour les patients, en leur imposant une dépense qui n’apporte ni suivi de qualité, ni véritable sentiment de sécurité routière. La Fédération rappelle que ces visites médicales ne sont pas un choix, mais une obligation administrative imposée aux personnes traitées par médicaments hypoglycémiants : depuis des années, nous demandons et travaillons à ce qu’elle soit légitimement prise en charge et avons multiplié les démarches en ce sens. Cette hausse ne saurait en aucun cas être acceptée. Le coût de cette visite ne doit pas incomber à des patients qui n’ont pas choisi leur pathologie !
La Fédération Française des Diabétiques a d’ores et déjà engagé de nouvelles actions pour s’opposer à cette augmentation et obtenir une prise en charge du coût de la visite médicale d’aptitude à la conduite, des échanges sont prévus avec la Délégation à la Sécurité routière du ministère de l’Intérieur. L’annonce d’une possible hausse ne fait que renforcer notre détermination : nous allons intensifier nos actions et proposer très prochainement une évolution de la législation afin d’entériner ce principe de prise en charge. Nous sommes pleinement mobilisés pour défendre et faire respecter vos droits, nous ne lâcherons rien et ne céderons pas.
PROGRAMME "MIEUX VIVRE AVEC MON DIABETE" - NIMES
L'AFD30 propose un parcours sur mesure en TROIS étapes.
PREMIERE ETAPE : dénommée "ELAN SOLIDAIRE" rencontre avec deux patients experts, afin de cerner vos besoins, mais aussi vous apporter des informations sur la maladie, sur les bienfaits de l'activité physique et d'une alimentation saine et adaptée. Une fois cette étape franchie, vous pourrez participer SOIT :
DEUXIEME ETAPE : APA ACTIVITE PHYSIQUE ADAPTEE avec Léonore Enseignant APA,
TROISIEME ETAPE : Ateliers Diététiques avec Victoire ARTHAUD, Diététicienne
SOIT les deux, ce qui est conseillé !
Lieu : MAISON DES ASSOCIATIONS
2 impasse Jean Macé
30900 NIMES
Nos rendez-vous : (SALLE 314)
Elan Solidaire - AFD30 :
Jeudi 11 septembre 2025
Jeudi 18 septembre 2025
Jeudi 18 décembre 2025
Horaires : 9h30 à 11h00
L’activité physique adaptée - Education pour la santé : (SALLE 8)
Les lundis : 22, 29 septembre 2025
Les lundis : 06, 13, 20 octobre 2025 (pas le 27 car vacances Toussaint)
Les lundis : 03, 10, 17 24 novembre 2025
Les lundis : 1er, 08, 15 décembre 2025
Horaires : 9H30 à 11h00
(Un rendez-vous personnel est pris pour un bilan par l’enseignant APA)
La Diététique : (SALLE 314)
Jeudi 02 octobre 2025
thématique : Petit déjeuner et collation
Jeudi 30 octobre 2025
thématique : Repas principaux
Jeudi 27 novembre 2025
thématique : Recettes pour diabétiques - Questions Réponses, Bilan.
Horaires : 14h00 à 15h30
VOIR PROGRAMME
J'adhère